Myc breakapart probe (10 tests)
Produit ni repris ni échangé excepté en cas d’erreur du prestataire.
Points clés
Les translocations impliquant l’oncogène MYC (cMYC) (Avian Myelocytomatosis Viral Oncogene Homologue) sont une caractéristique moléculaire du lymphome de Burkitt et se produisent dans presque tous les cas. Ces réarrangements peuvent également être trouvés dans 5 à 10% des lymphomes diffus à grandes cellules B (DLBCL)1. La majorité des réarrangements entraînent la juxtaposition de MYC à IGH, IGL ou IGK dans les t(8;14), t(8;22) ou t(2;8) respectivement. Dans chaque cas, il en résulte une dysrégulation des MYC (en raison de leur proximité avec le locus d’immunoglobulines actif), une transcription accrue et une croissance néoplasique. Les points de rupture impliqués sont largement dispersés dans tout le gène mais la translocation t(8;14) épargne toujours la
les exons codants pour les protéines qui deviennent attachés au dérivé 14. Dans la t(2;8) et la t(8;22), le MYC reste sur le chromosome 8 et le locus d’immunoglobuline le rejoint, ce qui entraîne un positionnement rapproché du MYC et des locus d’immunoglobuline. De rares cas de translocations sans immunoglobulines partenaires ont également été signalés.
Les patients présentant des réarrangements de MYC, en l’absence d’un diagnostic confirmé de lymphome de Burkitt, étaient initialement considérés comme ayant de mauvais pronostics, mais ils répondent bien à la chimiothérapie intensive leur permettant un taux de survie accru. Cela montre que la confirmation cytogénétique du réarrangement est nécessaire pour gérer efficacement le patient
Sonde de la région MYC 8q24.21 en rouge
Sonde de la région MYC 8q24.21 en vert
Cet ensemble de sondes se compose de deux sondes rouges centromériques au gène MYC et qui couvrent le marqueur D8S1153, ainsi que de trois sondes vertes télomériques au gène MYC et qui couvrent les marqueurs D8S1207 et D8S1732.
Les sondes sont fournies préalablement mélangées dans une solution d’hybridation (formamide, sulfate de dextrane, solution saline de citrate de sodium (SSC)) et sont prêtes à l’emploi. Sous le format 10 tests : 100 µl par flacon (10 tests)
Contre-coloration : 150 µl par flacon (15 tests) La contre-coloration DAPI/antifade est utilisée (ES : 0,125 µg/ml DAPI (4,6- diamidino-2-phenylindole))
Garantie
Garantie 0 Mois
Description
Les translocations impliquant l’oncogène MYC (cMYC) (Avian Myelocytomatosis Viral Oncogene Homologue) sont une caractéristique moléculaire du lymphome de Burkitt et se produisent dans presque tous les cas. Ces réarrangements peuvent également être trouvés dans 5 à 10% des lymphomes diffus à grandes cellules B (DLBCL)1. La majorité des réarrangements entraînent la juxtaposition de MYC à IGH, IGL ou IGK dans les t(8;14), t(8;22) ou t(2;8) respectivement. Dans chaque cas, il en résulte une dysrégulation des MYC (en raison de leur proximité avec le locus d’immunoglobulines actif), une transcription accrue et une croissance néoplasique. Les points de rupture impliqués sont largement dispersés dans tout le gène mais la translocation t(8;14) épargne toujours la
les exons codants pour les protéines qui deviennent attachés au dérivé 14. Dans la t(2;8) et la t(8;22), le MYC reste sur le chromosome 8 et le locus d’immunoglobuline le rejoint, ce qui entraîne un positionnement rapproché du MYC et des locus d’immunoglobuline. De rares cas de translocations sans immunoglobulines partenaires ont également été signalés.
Les patients présentant des réarrangements de MYC, en l’absence d’un diagnostic confirmé de lymphome de Burkitt, étaient initialement considérés comme ayant de mauvais pronostics, mais ils répondent bien à la chimiothérapie intensive leur permettant un taux de survie accru. Cela montre que la confirmation cytogénétique du réarrangement est nécessaire pour gérer efficacement le patient
Sonde de la région MYC 8q24.21 en rouge
Sonde de la région MYC 8q24.21 en vert
Cet ensemble de sondes se compose de deux sondes rouges centromériques au gène MYC et qui couvrent le marqueur D8S1153, ainsi que de trois sondes vertes télomériques au gène MYC et qui couvrent les marqueurs D8S1207 et D8S1732.
Les sondes sont fournies préalablement mélangées dans une solution d’hybridation (formamide, sulfate de dextrane, solution saline de citrate de sodium (SSC)) et sont prêtes à l’emploi. Sous le format 10 tests : 100 µl par flacon (10 tests)
Contre-coloration : 150 µl par flacon (15 tests) La contre-coloration DAPI/antifade est utilisée (ES : 0,125 µg/ml DAPI (4,6- diamidino-2-phenylindole))
Caractéristiques
- Volume échantillon
- 10 µl
- Référence fabricant
- LPS027
- Méthode de détection
- fluorescence
- Référence distributeur
- LPS027
- Fournisseur
- SYSMEX FRANCE
- Marque
- OGT
- Type de coloration
- fluorescence
- Lieu de fabrication
- Grande-Bretagne
- Lieu de stockage
- Angleterre + Goussainville France
- Type de produit
- sonde FISH
- Marquage CE DIV
- oui
- Certification
- CE/IVD
- Produit captif
- non
- Code à barre
- oui
- Domaine de recherche
- diagnostic génétique
- Possibilité de congélation
- oui
- Préconisations avant utilisation
- Cf mode d'emploi
- Délai de péremption à la date de livraison
- 12 mois
- Etat
- liquide
- Soumis à carboglace
- non
- Volume
- 100 µL
- Prêt à l'emploi
- oui
- Nombre de réactions
- 10
- Température de conservation (°C)
- entre -25 et -15 °C
- Température de transport
- ambiante
- Type d’application
- cytogénétique
- Molécule cible
- ADN
- Vendu par
- 10 tests
- Quantité
- N/A
- Reprise en cas d’erreur client
- non
- Nomenclature Nacres
- NA.47
- Nomenclature CEA
- SGP01
- Nomenclature IRSN
- 273
- Nomenclature INSERM
- NA.NA47
- Nomenclature CNRS
- NA47
- Nomenclature CHU
- 18.582
- Nomenclature DGOS
- LA11AOOO